Aréoport de Paris, deuxième jour.
Et oui, des nouvelles, c’est hallucinant je sais.
Tout c’est bien passé pour les vacances en France. Pour repartir aux US ça a été autre chose.
Le départ était prévu le mardi 06 janvier, à 10h45. Il venait de neiger, donc galère pour y aller, on part plus tôt. La veille il y avait eu 1600 passagers bloqués à cause de plusieurs vols annulés.
Résultat, Roissy c’est pire que des japonais devant la Joconde, c’est le bordel complet. Après avoir galéré un bon bout de temps pour s’enregistrer, pour s’assurer qu’Alix avait un siège, on passe la sécurité. C’est là qu’on s’est aperçue qu’on ne serait pas à côté dans l’avion. Bref, on arrive devant notre porte d’embarquement, et là « Vol AF 374 retardé à 11h30 ». Sachant qu’on avait 1h30 pour changer à Détroit, on commence à s’inquiéter. C’est vers 11h15, qu’on voit « Départ prévu pour 12h30 ». Et de demi-heure en demi-heure jusqu'à être retardé a 14h30. Vers 14h, on nous dit qu’on vérifie en ce moment même la sécurité de l’avion, et que ça devrait bientôt être prêt, qu’il y en a pour 30 minutes. A 14h30, on nous dit que l’agence qui s’occupe de la sécurité de l’avion n’est pas encore arrivée, et que comme c’est des sous-traitants, bah on sait pas trop où ils sont. A 15h arrive le moment tant attendu, on embarque. On s’installe dans l’avion, sachant pertinemment qu’on aller rater l’avion Detroit-Chicago. C’est à 15h30 qu’on nous explique que dû à un problème technique, l’avion ne partira pas.
S’en suit une cavalcade dans l’aéroport, une queue de 150 passagers mécontent à replacer sur des vols le lendemain, et à placer dans des hôtels. Nous on était au bout de la queue, et voyant que 2 heures plus tard on avait avancé d’environ 1m50, on en aurait pour 4/5 heures facile. Sachant qu’on pouvait rentrer sur Orléans grâce à super-pôpa, j’ai agressé une pauvre hôtesse pour qu’elle me donne le numéro à appeler pour changer sa réservation. En fait elle n’était même pas d’Air France, mais à quand même réussit à m’obtenir le numéro. Je reviens vers Alix, triomphante, on peut rentrer chez nous et on s’occupera de ça dans la voiture. Et là, annonce au micro « Les personnes habitant sur la région parisienne peuvent appeler au XX-XX pour reprogrammer leur vols ». Ça faisait 2 heures qu’on essayait de trouver quelqu’un à qui parler, et pile quand on y arrive, ils balancent ça. On était un peu verte.
En tout cas on est rentrées, fatiguées et énervées. Le lendemain redépart, levées 4h45 pour la deuxième fois. Cette fois ci on part par Amsterdam, donc le personnel est beaucoup plus agréable, pas de problème. Les vols se sont bien passés, si ce n’est qu’il n’y avait pas de télé sur le vol de 9h. Et qu’il y avait a peu prêt autant de place que dans un IRM. On est arrivées à Chicago avec 26 heures de retard, exténuées, crevées, avec une journée de perdue, et un gros grief contre Air France.
Tout c’est bien passé pour les vacances en France. Pour repartir aux US ça a été autre chose.
Le départ était prévu le mardi 06 janvier, à 10h45. Il venait de neiger, donc galère pour y aller, on part plus tôt. La veille il y avait eu 1600 passagers bloqués à cause de plusieurs vols annulés.
Résultat, Roissy c’est pire que des japonais devant la Joconde, c’est le bordel complet. Après avoir galéré un bon bout de temps pour s’enregistrer, pour s’assurer qu’Alix avait un siège, on passe la sécurité. C’est là qu’on s’est aperçue qu’on ne serait pas à côté dans l’avion. Bref, on arrive devant notre porte d’embarquement, et là « Vol AF 374 retardé à 11h30 ». Sachant qu’on avait 1h30 pour changer à Détroit, on commence à s’inquiéter. C’est vers 11h15, qu’on voit « Départ prévu pour 12h30 ». Et de demi-heure en demi-heure jusqu'à être retardé a 14h30. Vers 14h, on nous dit qu’on vérifie en ce moment même la sécurité de l’avion, et que ça devrait bientôt être prêt, qu’il y en a pour 30 minutes. A 14h30, on nous dit que l’agence qui s’occupe de la sécurité de l’avion n’est pas encore arrivée, et que comme c’est des sous-traitants, bah on sait pas trop où ils sont. A 15h arrive le moment tant attendu, on embarque. On s’installe dans l’avion, sachant pertinemment qu’on aller rater l’avion Detroit-Chicago. C’est à 15h30 qu’on nous explique que dû à un problème technique, l’avion ne partira pas.
S’en suit une cavalcade dans l’aéroport, une queue de 150 passagers mécontent à replacer sur des vols le lendemain, et à placer dans des hôtels. Nous on était au bout de la queue, et voyant que 2 heures plus tard on avait avancé d’environ 1m50, on en aurait pour 4/5 heures facile. Sachant qu’on pouvait rentrer sur Orléans grâce à super-pôpa, j’ai agressé une pauvre hôtesse pour qu’elle me donne le numéro à appeler pour changer sa réservation. En fait elle n’était même pas d’Air France, mais à quand même réussit à m’obtenir le numéro. Je reviens vers Alix, triomphante, on peut rentrer chez nous et on s’occupera de ça dans la voiture. Et là, annonce au micro « Les personnes habitant sur la région parisienne peuvent appeler au XX-XX pour reprogrammer leur vols ». Ça faisait 2 heures qu’on essayait de trouver quelqu’un à qui parler, et pile quand on y arrive, ils balancent ça. On était un peu verte.
En tout cas on est rentrées, fatiguées et énervées. Le lendemain redépart, levées 4h45 pour la deuxième fois. Cette fois ci on part par Amsterdam, donc le personnel est beaucoup plus agréable, pas de problème. Les vols se sont bien passés, si ce n’est qu’il n’y avait pas de télé sur le vol de 9h. Et qu’il y avait a peu prêt autant de place que dans un IRM. On est arrivées à Chicago avec 26 heures de retard, exténuées, crevées, avec une journée de perdue, et un gros grief contre Air France.
